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jaamil olawale kosoko (US)

Syllabus for Black Love

Installation vidéo

  • F Recommandé aux malentendant·e·x·s
  • B Accessible aux personnes à mobilité réduite

Conception, direction: jaamil olawale kosoko. Performeureuse·xs: Jennifer Kidwell, jaamil olawale kosoko. Vidéastes: Ima Iduozee, Sydney Lawson. Création sonore: Everett Asis Saunders. Montage et post-production: Alexis McCrimmon avec le soutien du studio film/vidéo du Wexner Center for the Arts.
En partant de théories queer et d’études noires autour du corps, l’installation de jaamil olawale kosoko assemble deux nouvelles pièces : le travail vidéo à trois parties, Syllabus for Black Love, et l’installation-performance multimedia the hold qui a été réalisée lors de sa résidence de trois ans au Wexner Center of Art, en Ohio.
Mis en scène dans un milieu reflétant les éléments anciens – l’air, le feu, l’eau, la terre, et l’esprit – le Syllabus for Black Love de kosoko est une vidéo méditative qui incarne les vertus réparatrices et de soins partagées par les personnes noires. À partir d’une série de conversations, un portrait intime émerge à travers une quête poétique qui demande « What is Black love? ». Arrangée comme un poème chorégraphique, Syllabus adopte la notion de « doulaing » comme une pratique nourrissante à travers des rythmes et gestes restoratifs.
Avec une bande-son originale d’Everett-Asis Saunders, le travail en trois parties capture les mouvements de deux danceureuses, kosoko et Jennifer Kidwell et réimaginent des corps queers noirs dans un environnement naturel qui navigue entre la terre et le ciel, le feu de camp et l’océan, et les transforment en des lieux intimes et sacrés.

 

jaamil olawale kosoko (they/he/she/jlov) est un auteur américain d’origine nigériane, un performeur et un curateur d’origine Yoruba et Natchez, originaire de Detroit, Michigan. Son travail dans le domaine de la performance est ancré dans la pratique du rituel, la poétique, les études critiques noires et les théories queer du corps comme moyen de conjurer et d’élaborer des modes de liberté continuels, de guérison et de soins quand/où/d’une manière où cela est possible. jaamil a notamment reçu le prix du jury Slamdance 2022 pour le meilleur court métrage expérimental, la bourse MacDowell 2021/22, la bourse Pew pour les arts 2020, la bourse NCCAkron Creative Administrative 2020, le prix NPN Creation & Development Fund 2019, la bourse Red Bull Arts 2019, 2019 NYSCA/NYFA Artist Fellowship in Choreography, 2017-2019 Princeton Arts Fellowship, 2018 NEFA National Dance Project Award, 2018-20 New York Live Arts Live Feed Residency, 2017 Cave Canem Poetry Fellowship, et 2016-2020 USArtists International Awards consécutifs de la Mid-Atlantic Arts Foundation.